Lancement de DGtv.fr – une Web TV qui traitera entre autres du cyber-tourisme !

En partenariat avec le cabinet de recrutement Ineva & Partners qui soutient le projet, les sociétés Krooga et digiLINX viennent de s’associer pour créer la toute nouvelle chaîne de télé Web DGtv.fr.

Adressée aux directeurs des activités de cybercommerce (« aux Boss de l’e-Commerce » dit le site), cette Web TV va proposer des émissions et des interviews dans trois domaines ciblés :

  • l’e-Commerce
  • l’e-Retail
  • et l’e-Tourisme

Des interviews postées chaque semaine

DGTV s’appuiera sur les compétences de ses créateurs pour proposer chaque semaine l’interview d’un haut responsable ou d’un expert pour chacune de ces trois activités.

DigiLINX est une société de conseil qui accompagne ses clients, acteurs majeurs du cybercommerce, dans leur stratégie d’acquisition de prospects et de leur fidélisation en ligne. Comme la plupart des acteurs du domaine, digiLINX a pour caractéristique de se rémunérer à la performance (au nombre de profils acquis ou fidélisés) plutôt qu’au conseil. Elle intervient aujourd’hui sur une gamme large d’activités liées à l’e-Commerce et pour plus d’une soixantaine de clients.

De même, krooga est une agence de conseil en cybermarketing. Elle s’est fixée comme mission d’accompagner ses clients, qu’ils s’inscrivent dans une logique commerciale ou bien institutionnelle, dans l’acquisition d’audience sur le Web via des campagnes publicitaires, à but d’acquisition là aussi de prospects ou de visiteurs qualifiés.

C’est fort de ces expertises dans le domaine du cybercommerce que les deux sociétés ont donc décidé de créer DGTV. Elles réaliseront et mettront en ligne sur cette nouvelle Web TV des interviews de décideurs et d’experts renommés. Le public annoncé comme visé, pour l’instant, est constitué des directeurs de sociétés intervenant dans l’e-Commerce, l’e-Retail ou l’e-Tourisme.

La saison 1 est déjà disponible !

Une première interview de lancement est déjà publiée sur le site. Hervé Bloch, fondateur de digiLINX, et Aymard de Germiny, PDG d’Ineva & Partners, y expliquent les raisons de la création de la chaîne Web – à voir ici.

Mais les premières interviews pour chaque domaine sont aussi disponibles à présent !

Pour le cybercommerce, DGTV publie cette semaine l’interview du Président Directeur Général de Groupon France. Dans cette vidéo, Frank Zorn rappelle ainsi la croissance ultra rapide de la société.

La rubrique e-Retail voit de son côté la publication d’une interview du Directeur e-Commerce de Monoprix, Patrick Oualid, qui explique la stratégie Web de l’entreprise. Il y parle notamment des moyens dont elle s’est dotée pour devenir un acteur majeur de la cyber-distribution.

Enfin, et pour ce qui nous intéresse le plus, cette semaine pour l’e-Tourisme c’est la Directeur e-Marketing Monde d’Air France, Tanguy Favennec, qui explique ici la stratégie numérique de la compagnie aérienne française.

Cette dernière interview est particulièrement intéressante, puisqu’elle retrace l’évolution vers le numérique d’un acteur fonctionnant historiquement exclusivement par guichets et qui aura su s’adapter aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, par la mise en œuvre de son site Web, le développement d’applications mobiles et l’utilisation des médias et réseaux sociaux.

Nouvelles applications mobiles pour visiter la ville de Dinant

L’AWT établit un constat d’insuffisance des sites Web du secteur du tourisme wallon

En 2010 déjà l’AWT (Agence Wallonne des Télécommunications, à Jambes) constatait certaines faiblesses quant à l’informatisation du secteur touristique wallon. Interactivité insuffisante, contenus vidéo, audio ou d’animation souvent inexistants, manque d’ergonomie et absence trop fréquente des moyens de personnalisation des contenus proposés étaient pointés par l’AWT.

Cette agence joue en effet pour la Wallonie le rôle de portail des TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Elle est missionnée par le Gouvernement wallon avec l’objectif fondamental de « promouvoir l’accès universel aux TIC et d’inciter à l’usage généralisé de celles-ci » (source : AWT).

La Ville de Dinant en tire les conséquences

La Maison du Tourisme de Dinant et de la Haute-Meuse aura tenu compte de ce constat. Sa Directrice, Anne-Christine Otte, a en effet lancé un projet d’applications mobiles pour la ville de Dinant, qui vient d’aboutir au tout début de cet été 2012.

Si un tel développement s’avère onéreux et long à mettre en place – la réflexion aurait démarré déjà en 2009 – les Maisons du Tourisme peuvent obtenir des aides, et notamment dans le cadre d’un Programme Européen de Développement Rural. Anne-Christine Otte considère d’ailleurs que sans ces aides financières et l’aide en conseils de l’AWT, le projet n’aurait pas abouti dans les mêmes conditions.

Deux applications touristiques mobiles sont à présent disponibles pour la Ville de Dinant !

La Ville de Dinant vient donc d’ajouter à son site Web

L’application « Dinant Tour » joue le rôle de guide interactif. Développée pour les systèmes d’exploitation iOS et Android pour mobiles, elle utilise par exemple les capacités de géo-localisation des smartphones et propose des animations en réalité augmentée.

Un code QR est présenté aux différents points de la visite, qu’il s’agisse d’attractions ou de lieux d’hébergement, etc. Scanner chacun de ces codes renvoie vers le site mobile de la Ville et permet d’accéder aux informations correspondantes ou souhaitées. Si les informations retournées prennent en compte le trajet déjà parcouru, leur personnalisation viendra au fil du temps, à la fois pour le smartphone qui y accède et aussi pour le lieu où le code QR aura été scanné. Chaque lieu visité ne possède en effet pas forcément encore son site mobile.

« Le Fantôme de Dinant » constitue l’autre application mobile mise à disposition des visiteurs. La maison du Tourisme de Dinant a confié la réalisation de ce jeu à la société FuretCompany.com, spécialisée dans la « mise en scène ludique des patrimoines sur smartphone » (chasses au trésor et jeux de piste). La Maison du Tourisme est allée chercher cette entreprise à Boulogne-Billancourt en France, pour la qualité de leurs précédentes réalisations (le Château de Versailles est à leur palmarès par exemple). Une autre compagnie française, ZeVisit.com, a également été impliquée dans le projet, pour sa connaissance de la ville (cf. ici par exemple).

Scanner les codes QR permet ici d’avancer dans un jeu de piste informatif. Un mini-jeu est proposé à chaque point, soit une quinzaine d’énigmes différentes en tout. Le visiteur est invité à identifier l’auteur de l’assassinat du chevalier Quentin de la Marck, né à Dinant. Son fantôme erre depuis dans la ville et découvrir son assassin est censé lui permettre de conjurer le sort qui lui a été jeté. Les langues française, anglaise, néerlandaise et allemande sont par ailleurs actuellement disponibles.

Il s’agit là d’un moyen ludique de découvrir et de promouvoir la Ville de Dinant, ses principaux sites, et plus tard aussi la région de la Haute-Meuse, dès que d’autres parcours seront venu étoffer l’offre actuelle. Il est également dans l’intention de la Maison du Tourisme de confier la réalisation des prochains sites et applications mobiles à des entreprises locales. Cela devrait être possible, notamment grâce aux aides que savent apporter la Région wallonne ou les instances européennes.

Progression du e-tourisme en France

Le e-tourisme, qui regroupe toutes les activités liées de près ou de loin au secteur du tourisme sur Internet, connait un grand boom depuis une dizaine d’années. Et cette progression ne semble pas se ralentir, bien au contraire. En effet, avec l’émergence des tablettes et autres smartphones, bref, d’un monde conecté à tout moment, les occasions sont de plus en plus nombreuses de rechercher de l’information touristique en ligne ou d’y préparer ses voyages.

Une étude menée par la société Raffour Interactif, nous en apprend d’ailleurs davantage sur les habitudes des usagers. Un millier de personnes ont en effet été interrogées ses six derniers mois, en face à face. Et les résultats nous montrent l’ampleur des activités liées au tourisme sur le web.

Ainsi, en 2011, 42 % des Français partis en vacances ont réservé et payé via la toile une partie ou la totalité de leur voyage. En comparaison, le nombre n’était que de 8 % en 2003 et de 31 % en 2008. Pour la majorité de ces internautes, le web possède des avantages certains: il est en effet possible de comparer différentes offres et de connaître les disponiblités et les activités à faire aux alentours. Les Français, pour leur vacances, restent très majoritairement sur le territoire national. Du coup, réserver en ligne, sans intermédiaire, reste une chose assez simple, sans la barrière d’une langue étrangère. Enfin, l’enquête indique que nombreux sont ceux qui lisent les commentaires laissés par d’autres vacanciers sur des lieux ou des activités.

En outre, si tous ne réservent pas en ligne, le sondage réalisé par Raffour Interactif interpelle sur le fait que 58 % des Français partis en vacances ont préparé le voyage en ligne.

Cette étude maintient le discours tenus il y a quelques mois par PhoCusWright dans sa dernière édition de l’European Online Travel Overview. La firme indiquait aussi que la progression du e-tourisme était très forte en Europe. Le tourisme en ligne européen dépassera, d’ici un à deux ans, celui des Etats-Unis. L’arrivée de nombreuses applications dédiés sur les téléphones portables mais aussi sur les réseaux sociaux favoriserait cette progression. Pour les sociétés spécialisées dans le tourisme et la réservation de séjours, ce changement de moeurs donne lieu à de profondes redéfinitions de leur positionnement. Même les offices de tourisme ont le devoir de mettre en avant leur site Internet, avec des liens accrus vers les professionnels, hôteliers ou restaurateurs.

Nouveau label de qualité pour le tourisme wallon

Logo Wallonie destination de qualitéLe 27 juin dernier à l’auberge de jeunesse de Namur, Monsieur Paul Furlan, Ministre des Pouvoirs locaux, de la Ville et du Tourisme, présentait en conférence de presse le nouveau programme « Wallonie, Destination Qualité ».

A l’origine, un programme suisse

Ce programme est inspiré du modèle suisse lancé en 1997 et qui vise entre autres à augmenter la « conscience qualité » des entreprises touristiques. Par la mise en place de trois niveaux de qualité, ce modèle tend à développer et à encourager la collaboration entre intervenants au sein de la chaîne des prestations.

Il se trouve que douze régions ou pays européens ont d’ores et déjà adopté ce programme, qui serait appliqué à ce jour par 13 000 personnes au sein d’un peu plus de 5 000 entreprises certifiées.

Le tourisme wallon s’offre ainsi un tout nouveau label de qualité

Il aura semblé au gouvernement wallon comme nécessaire d’harmoniser les pratiques qualités mises en œuvre par les professionnels wallons. Cette action s’inscrit en droite ligne avec la Déclaration de politique régionale, dans le cadre du plan « Marshal 2.vert ».

Non pas que la qualité ne soit pas au rendez-vous, bien au contraire. Le secteur représente en effet 5% du PIB, 60 000 emplois sont concernés en Wallonie et la qualité des prestations offertes par ces professionnelles est reconnue. Mais le Ministre et le Commissariat Général au Tourisme (CGT) cherchent donc à présent à harmoniser les pratiques, en les incluant dans une démarche qualité déjà éprouvée.

La concurrence internationale croissante dans le domaine du tourisme amène ainsi le gouvernement à considérer comme essentiel de favoriser tous les points de différenciation avec les concurrents étrangers. Améliorer la qualité ou faire prendre conscience de l’utilité d’une démarche qualité auprès des professionnels wallons du tourisme est donc considéré comme une filière à exploiter.

Le label « Wallonie Destination Qualité », un label à trois niveaux

Ce label est donc mis en place à présent, à destination de l’ensemble du secteur touristique (hôtels, restaurants, agences de voyage), y compris pour le secteur du transport (public, privé, taxis, etc.)

Comme son homologue suisse, il est décliné en trois niveaux de qualité et il s’adresse aux entreprises du secteur touristique, en dehors de toute considération de taille. Il vise à améliorer la qualité de leurs prestations et à assurer leur pérennité, en les incitant à passer du niveau 1 de qualité de base au niveau 3 de qualité ultime :

  1. Le Niveau 1 agit sur la qualité du service. Il est à usage interne de l’entreprise et à destination des collaborateurs
  2. Le Niveau 2 porte en priorité sur la qualité de la gestion au sein de l’entreprise, considérant que le soutien systématique des directions est indispensable au développement de la qualité des prestations
  3. Le Niveau 3, enfin, correspond à un système global de Management de la Qualité. Il distingue les professionnels du tourisme qui auront atteint le plus haut degré d’intégration de la qualité dans leur processus.

Un label pour une prise de conscience de l’utilité de la gestion de la qualité

Le gouvernement Wallon ne considère pas ce label comme un outil marketing. Il s’agit plutôt d’amener les professionnels du tourisme wallon à adopter une démarche qualité systématique et de les y inciter en leur offrant un moyen de reconnaissance de leurs efforts. L’ensemble est donc utilisé comme un moyen indirect d’améliorer la compétitivité du tourisme wallon dans un contexte concurrentiel de plus en plus agressif au niveau international.

Plus d’informations sur www.walloniedestinationqualite.be

Que la lumière soit !

Le blog de Fivetrip est désormais en place. Il nous restera bien entendu des éléments à peaufiner mais en gros, tous les éléments sont là pour commencer l’aventure.

Ce blog sera pour nous l’occasion de vous faire partager cette folle aventure en laquelle nous croyons énormément. Le style éditorial se précisera au fur et à mesure des articles et des posts mais nous toucherons à plusieurs sujets.

Tout d’abord, tout ce qui concerne la vie quotidienne de notre entreprise, nos rencontres, nos doutes, nos joies, la partie administrative mais également des partages de « trucs et astuces » afin que certains puissent éviter de tomber dans des pièges. Nous parlerons bien entendu de notre bébé, Fivetrip, dont l’idée à germer début 2012.

Nous parlerons par ailleurs de l’actualité du secteur de l’e-tourisme puisque c’est une actualité que nous suivons évidemment avec beaucoup d’intérêt. Pour le reste, ce sera au gré des envies